Le croupier est celui qui est en charge de prendre les paris et d’assister la table de jeu. Mais surtout, le métier du croupier consiste à animer la table et distribuer les cartes. En résumé, devenir croupier c’est être un artiste, et être l’arbitre intraitable de la partie. Par conséquent, celui qui dirige les parties doit rester concentré tout au long du jeu. Et en même temps, il doit tout mémoriser. En d’autres termes, le croupier a le devoir de maîtriser des techniques illusoires telles que la martingale. Vu que le monde des casinos est rempli d’émotions fortes et d’excitation viscérale.
Comment devenir croupier professionnel?
Depuis 2007, les casinos sont autorisés à avoir un poker room dans leur établissement. Cependant, ils sont obligés d’employer des croupiers. Généralement appelés donneurs ou « dealers ». Mais sachez que l’accès au métier de croupier est réglementé. En outre, l’agrément du ministère de l’intérieur est obligatoire pour devenir croupier. Cet accord est adjugé après enquête et peut être retiré à tout moment. Alors, il va falloir que ceux qui exercent déjà dans le domaine prennent leur métier au sérieux en ayant un sens aigu de l’observation et une mémoire rapide. Sans oublier l’agilité manuelle et la capacité de concentration. Mais surtout, le croupier doit avoir le sens de la discrétion et de la politesse.
Le métier de croupier serait-il en voie de disparition?
Mesdames et messieurs, votre attention s’il vous plait! Une triste et mauvaise nouvelle risque des émules. Les croupiers seront-ils vraiment remplacés par l’électronique? Voyons voir de plus près. Dans tous les secteurs d’activité, la technologie et la numérisation prennent de plus en plus de place. Les jeux de casino n’échappent pas à cette tournure. Une initiative de mettre petit à petit en place des tables de jeux électroniques débarque dans les sociétés des casinos de Québec. Une inclination qui se pointe peu à peu dans les salles de jeux européennes et même du monde entier. L’objectif principal de cette nouvelle disposition est de maximiser la rentabilité en diminuant le plus possible le nombre de croupier. Or, les syndicats ne voient pas la chose du même œil.